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Il faut un cadre pour développer au mieux l’Intelligence Artificielle en Europe. Le plus important sera de trouver l’équilibre entre innovation et protection des droits des citoyens.

Agissons pour protéger les citoyens des arnaques sur les réseaux sociaux. Il faut des règles européennes pour encadrer les dérives de l’influence commerciale.

L'eurodéputée Stéphanie Yon-Courtin s'est positionnée en fer de lance pour une harmonisation des règles européennes afin de mieux contrôler le « far west » de l’Internet.

L’eurodéputée compte utiliser la stratégie sur l’investissement de détail pour réguler les influenceurs financiers, et en particulier les arnaques à la copie d’investissement et les crypto-monnaies.

Si l'euro numérique a le potentiel pour renforcer notre souveraineté numérique et économique, il faut avant tout qu’il soit protecteur des droits de ses utilisateurs, les citoyens !

Gratuit et disponible partout, même offine : l’euro numérique fait l’objet d’une proposition de régulation par la Commission européenne.

La Plateforme des technologies stratégiques pour l’Europe (STEP), annoncée par la Commission européenne est loin d’être suffisante face à l’IRA américain.

Une table ronde sur l'IA s'est tenue hier réunissant Alexandre Holroyd, Benjamin Guedj, Stéphanie Yon-Courtin pour discuter des opportunités et des défis liés à cette technologie émergente.

Aujourd’hui et demain, mission à Londres sur les grands enjeux numériques en Europe et au Royaume-Uni.

Après plusieurs années de travail, nous, députés européens, venons d’adopter le règlement sur l’Intelligence Artificielle, le tout premier au monde. Concrètement, qu’est ce qui va changer ?

Si le RN commence seulement à s'intéresser à l’Intelligence artificielle, l’Europe, elle, travaille depuis des années sur la question.

Le Parlement a soutenu la mise en place d’un cadre d’action dans lequel les grands générateurs de trafic contribueraient équitablement au financement approprié des réseaux de télécommunications ».