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Stéphanie Yon-Courtin s'engage pour un soutien sans faille aux TPE, petites et moyennes entreprises
Stéphanie Yon-Courtin, Vice-présidente de la commission aux affaires économiques et monétaires (ECON) du Parlement européen, s’est entretenue mercredi 18 novembre avec Alban Maggiar, (Président de SME United), et des représentantes de la CPME : Stéphanie Pauzat, Vice-présidente de la CPME et dirigeante de l'entreprise normande Mileclair , et Béatrice Brisson, Directrice des affaires européennes et internationales de la CPME. La couverture du risque pandémique dans les contrats d'assurance constituait le sujet central de cette rencontre.
La pandémie de la Covid-19 et les mesures sanitaires mises en œuvre pour la combattre ont mis un coup d’arrêt à l’économie européenne. Dans ce contexte, les TPE, petites et moyennes entreprises sont les premières impactées et ont besoin d'un soutien sans faille. Ce message était au cœur d’une rencontre organisée en juillet dernier entre des entrepreneurs normands, Stéphanie Yon-Courtin et Alain Griset, Ministre délégué chargé des Petites et Moyennes Entreprises. À cette occasion, Stéphanie Yon-Courtin avait rappelé que 40% de l'aide liée aux fonds de relance était européenne et a insisté sur la nécessité d'une réponse européenne et coordonnée pour les TPE/PME.
Pour faire face à cette situation, les échanges ont porté sur plusieurs solutions au niveau français et européen : des mesures d'urgence à court terme pour la relance ou via le cadre temporaire du régime d'aides d'État, ainsi que des réflexions de plus long terme pour assurer une meilleure couverture du risque pandémique au niveau européen. En particulier, Stéphanie Yon-Courtin vient d'adresser une question à la Commission européenne sur les aides d'Etat et les mesures aux TPE/PME notamment sur la nécessité d'étendre et d'améliorer le cadre temporaire relatif aux aides d'État afin d'accompagner les TPE/PME à passer le cap de la pandémie et les aider sur la voie de la relance. Les TPE/PME sont toujours particulièrement exposées et fragilisées et elles ont besoin d'une plus longue période pour rembourser les prêts accordés.