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Communiqué de presse I Conception addictive des plateformes en ligne : Stéphanie Yon-Courtin appelle àréguler les pratiques des Big Tech pour protéger les consommateurs européens
Lutte contre les pratiques nocives pour la santé mentale des jeunes
Stéphanie Yon-Courtin, Députée Européenne et rapporteure fictive pour le groupe Renew Europe, a pris une position ferme en faveur de la protection des consommateurs européens contre les pratiques addictives des grandes plateformes en ligne.
« Ce phénomène grandissant des interfaces addictives représente un réel danger pour les consommateurs, en particulier chez les jeunes. Nous appelons la Commission européenne à légiférer pour préserver la santé mentale de nos 450 millions de citoyens européens. » déclare l’eurodéputée, membre de la commission du marché intérieur et la protection des consommateurs (IMCO).
Promotion de pratiques éthiques
Le rapport recommande des mesures concrètes, notamment la nécessité de légiférer contre les pratiques addictives telles que le scrolling illimité et le lancement automatique de contenus. Il préconise également l'établissement d'un ‘droit à ne pas être dérangé’ et la désactivation des notifications par défaut. Ces propositions visent à promouvoir des pratiques saines et éthiques dans le secteur du numérique.
« Nous vivons dans un monde où il est de plus en plus difficile de se déconnecter. Les Big Tech ont un intérêt financier évident à retenir les utilisateurs sur leurs plateformes pour monétiser leurs données personnelles, mais cela ne doit pas se faire au détriment de notre bien-être. Nous devons établir un équilibre entre l'innovation et la protection des consommateurs. » ajoute Stéphanie Yon-Courtin.
Sensibilisation et responsabilisation des consommateurs
Le rapport voté par le Parlement européen souligne également la nécessité d'informer les consommateurs sur les risques liés à une utilisation excessive des services en ligne et de leur donner les moyens de se prémunir contre ces dérives.
« Il convient d’une part de continuer la recherche pour mieux connaitre l’impact d’un usage excessif des écrans sur la santé et d’autre part d’ouvrir un dialogue avec les industries pour qu'elles participent à trouver des solutions pérennes. » explique la Députée européenne, membre de la délégation française ‘l’Europe Ensemble’.
